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Centre belge de Myothérapie

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Principe de la Myothérapie

Pour comprendre l'utilité de la myothérapie, il convient de comprendre le mécanisme de traumatisme et de facteur déclenchant.

 

Les muscles forment une chaîne continue dans le corps. Quand un muscle subit un traumatisme, d’autres muscles se contractent pour compenser, ce qui provoque la migration de la douleur vers un autre endroit du corps (fig 1). 

 

Suite à un traumatisme au niveau de la tête ou des chevilles, certaines fibres intra-musculaires se contractent de manière permanente à cause d’un mécanisme réflexe. Ces contractures peuvent alors provoquer des douleurs immédiates mais aussi, le plus souvent, rester sous le seuil douloureux durant de nombreuses années et se manifester soudainement suite à la survenance d’un facteur déclenchant. Par exemple, lors d’un stress, d’un choc, d’un mouvement répétitif, de la fatigue, d’une mauvaise position de sommeil, d’un « faux mouvement », d’un choc psychologique… La contracture alors sollicitée, s’aggrave, dépasse le seuil de tolérance provoquant alors des symptômes. Selon les muscles, le niveau de compensation et la zone touchée, l’aggravation de cette contracture peut provoquer, par exemple : 

  • une compression anormale des os du crâne et induire des migraines, des acouphènes, des algies vasculaires de la face…
  • le blocage des premières vertèbres cervicales et des premières côtes et induire un asthme d’effort
  • une compression excessive des vertèbres lombaires et engendrer des hernies discales, 
  • Une déviation de la colonne vertébrale qui se transforme peu à peu en scoliose
  • Une hyperpression du cartilage qui va déclencher de l’arthrite, de l’arthrose, des douleurs méniscales…
  • Une compression veineuse provoquant des migraines
  • …

 

La douleur cesse en général quand le muscle concerné se relâche grâce par exemple à une nuit de repos, à la prise de médicaments ou à une séance de Kiné ou d’ostéopathie…

Mais, même si la douleur disparaît, la contracture musculaire est toujours présente et le processus se reproduira dès que les facteurs secondaires se présenteront à nouveau. C’est pourquoi il n’est pas rare de devoir retourner régulièrement chez son Kiné ou son ostéo pour le même problème. Car, en fait, le problème est toujours là. Seuls les symptômes ont été masqués.

 

Il est important de distinguer le traumatisme initial (souvent ancien) des facteurs déclencheurs.

Les thérapies conventionnelles agissent la plupart du temps localement pour traiter le symptôme apparu suite au facteur déclencheur et qui semble à première vue en cause.

Le travail du myothérapeute consiste à agir sur le traumatisme primaire et donc sur le spasme musculaire ancien afin d’assurer une disparition durable du problème. Il peut, de manière complémentaire, agir localement sur le facteur secondaire pour accélérer, par exemple, la disparition d’une douleur invalidante.

Fig 1. Exemple de réaction de compensation à partir du cou (ebook - Myothérapie douleurs articulaires, J. Polak - Ed 2012)

Exemple de traumatismes

  • Naissance : ventouse, forceps, gynécologue trop brusque ou trop pressé.
  • Enfance : chute de la table à langer, du berceau, dans les escaliers, en vélo, à cheval...
  • Sport : Les sports « brutaux » ( football, rugby…) peuvent être à l’origine de traumatismes mais également la danse classique ou le basket où les chevilles subissent des microtraumatismes répétés.
  • Accidents : de voiture (coup du lapin…), chutes brutale sur les fesses, chutes diverses.
  • Violences (parentales, conjugales, bagarres,…).

Sur quoi agit la Myothérapie ?

Fig 1. Mécanisme de déclenchement de l'arthrose

(ebook - Myothérapie douleurs articulaires, J. Polak - Ed 2012)

Il existe deux sortes de muscles associé à chaque articulation : 

  • les muscles dynamiques qui déclenchent les mouvements.
  • les muscles dits toniques qui maintiennent les positions ou freinent le mouvement opposé ;

Il a été observé que seuls les muscles toniques peuvent rester spasmés de façon permanente.

Le réflexe myotatique est bien connu et étudié dans la littérature. Ce réflexe fait que tout muscle étiré se contracte. Ce réflexe permet au muscle de toujours retrouver sa position initiale. Il supporte différents automatisme comme la marche, la course à pied…

Lors d’un choc brutal, un os est soudainement déplacé par rapport au reste du corps. L’articulation la plus proche de l’os est brutalement mobilisée et certains muscles vont donc brutalement être étirés. Le réflexe myotatique intervient ici dans le but de protéger l’articulation contre la dislocation.

Le muscle étiré se contracte de manière réflexe pour résister au traumatisme.  Si le choc est suffisamment violent, la contracture devient persistante et ne peut plus disparaître d’elle-même, ni au repos, ni lors de massages, relaxation, shiatsu, trigger points, physiothérapie ou autres. Cela a même tendance à s’aggraver avec le temps d’autant plus que l’on étire ce muscle. C’est ce que le Dr Polak a nommé : « le myospasme post-traumatique persistant (MPP) ».

 

 

Les MPP peuvent rester asymptomatiques pendant des années mais un jour, souvent suite à un facteur déclencheur, la douleur survient. 

La compréhension de ces MPP permet de comprendre et traiter, diverses affections.

Le myothérapeute ciblera au mieux la zone à traiter lors de la première séance par divers moyens (interview du patient et testing musculaire).

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